/Les 7 partenaires BBMBC :
• Université de La Rochelle (FR)
• Valbiotis (Entreprise privée - FR)
• Conférence des Régions Périphériques Maritimes d’Europe (FR)
• Université Catholique de Valencia (ES)
• Université de Stirling (UK)
• Xanthella (Entreprise privée - UK)
• CIIMAR (PT)
L’Université de La Rochelle est le chef de file du projet BBMBC.
Le Département de Biotechnologies, l’Unité de Formation par Apprentissage et la Maison de la Réussite de l’Université de La Rochelle sont associés dans ce projet.
L’Université de La Rochelle (ULR) a été créée en 1993 et participe à plusieurs programmes européens de formation et de recherche. L’ULR délivre des diplômes de Licence, de Master et de Doctorat dans plusieurs domaines d’activités. L’ULR offre des parcours pluridisciplinaires structurés autour de trois cycles (LMD) et de quatre principaux domaines (Sciences, technologies et santé - Arts, lettres et langages - Sciences sociales et humaines - Droit, économie et gestion). Cette offre est conçue pour permettre aux étudiants de construire leur propre parcours au cours du cycle universitaire, que ce soit en formation initiale, en formation continue ou en validation des acquis professionnels.
Le Département de Biotechnologies est dirigé par Jean-Marie Piot et co-dirigé par Stéphanie Bordenave-Juchereau. Il propose des enseignements de niveau Master et Doctorat. Trois parcours de master de Biotechnologies sont proposés : Un parcours "Biochimie", un parcours « Génie biotechnologique et management en agro-industries » et un Master 2 "Applied Blue Biotechnology" délivré en anglais. Il associe actuellement 20 membres à temps plein en recherche et en enseignement. Les cours rassemblent plus de 120 étudiants. Les actuelles spécialisations incluent les biotechnologies agricoles et alimentaires, l’enzymologie, la microbiologie, la biologie moléculaire, les nanobiotechnologies, la biologie structurale, l’immunologie et la pharmacologie. Chaque membre de l’équipe académique conduit des recherches dans le laboratoire du CNRS (CNRS 7266 LIENSs). Leurs principales activités de recherche consistent en l’exploitation biotechnologique ou chimique de la biodiversité marine afin de produire ou d’extraire de nouveaux composants pharmacologiques à partir de micro/macro algues, bactéries, invertébrés… L'équipe de recherche "Biotechnologie et Chimie des Bioressources pour la Santé" (BCBS) travaille actuellement sur l’extraction de pigments naturels, de peptides, et de polysaccharides et de lipides actifs contre les cancers, les troubles du métabolisme ou les maladies infectieuses. Elle dispose d'une solide expérience dans la chimie verte, l’extraction, la purification, la caractérisation fonctionnelle et structurale des molécules organiques.
L'équipe accompagne également le transfert des innovations biotechnologiques vers le secteur privé notamment dans les domaines des bioprocédés et de la santé. Outre ce partenariat, les membres du Département ont établi un réseau de collaborations étroites avec d’autres industries du « secteur bleu » et des industries biotechnologiques comme Seprosys, les laboratoires Lescuyer, Innov’ia, Greentech, IDCAPS and Chevalait. Via l’Université de La Rochelle et le Centre de Formation des Apprentis de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche du Poitou-Charentes, l’Unité de Formation par Apprentissage est engagée dans le développement de la formation à la fois par apprentissage, mais aussi par les contrats de professionnalisation, en aidant les futurs apprentis et les employeurs.
Le service « Maison de la Réussite et de l'Insertion Professionnelle » de l’Université de La Rochelle est une structure unique qui vise à aider les étudiants et les professionnels à trouver une formation voire un emploi correspondant à leur projet professionnel. Ce service supervise l’orientation universitaire et professionnelle des étudiants, et propose des conseils dans la recherche de travail pour les étudiants et les diplômés. Une de ses activités consiste en la formation continue pour les professionnels, c'est-à-dire l’organisation des cours de formation continue, du tutorat personnalisé
et des conseils financiers.
VALBIOTIS est une société spécialisée dans le développement de solutions nutritionnelles innovantes dédiées à la prévention des maladies cardio-métaboliques et à l’accompagnement nutritionnel des patients. Ses produits sont destinés aux industriels de l’agro-alimentaire, et de l’industrie pharmaceutique.
VALBIOTIS intervient notamment pour la prévention du diabète de type 2, de la NASH (stéatohépatite non-alcoolique), de l’obésité et des pathologies cardio-vasculaires.
Créée début 2014 à La Rochelle, la Société a noué de nombreux partenariats avec des centres académiques d’excellence en France et à l’étranger, dont notamment l’Université de la Rochelle, le CNRS, et l’Université Clermont Auvergne située à Clermont-Ferrand, où la Société a ouvert un établissement secondaire. Ces accords lui permettent de bénéficier depuis sa création d’un fort effet de levier grâce notamment à des experts et partenaires techniques mobilisés sur ses projets. Membre du réseau « BPI Excellence » et bénéficiant du label BPI « Entreprise Innovante », VALBIOTIS dispose aussi du statut « Jeune Entreprise Innovante » et a obtenu un appui financier important de l’Union Européenne pour ses programmes de recherche via l’obtention de Fonds Européen de Développement Economique Régional (FEDER).
La Conférence des Régions Périphériques Maritimes (CRPM) est une organisation unique rassemblant près de 150 Régions membres situées au long de la rive européenne traversant cinq bassins maritimes (Arc Atlantique, Méditerranée, Mer du Nord, Mer Baltique et Mer Noire).
Les Régions membres sont issues de 28 pays et représentent presque 200 millions de personnes en Europe. Ces membres travaillent de manière conjointe pour assurer que les institutions européennes et les gouvernements nationaux prennent en compte leurs intérêts communs, en particulier sur les questions liées à la croissance bleue dans les zones maritimes européennes.
La CRPM est une organisation à but non-lucratif dont le budget provient des contributions des Régions membres qui sont des autorités régionales, c'est-à-dire des organismes publics.
La CRPM a une longue expérience dans développement régional et la politique maritime, des thèmes sur lesquels elle travaille depuis sa création en 1973. Unique association à travailler sur la base des territoires, la CRPM a largement contribué au développement de la politique maritime européenne.
Aujourd’hui, elle est un partenaire à part entière de nombreuses institutions européennes, notamment la Commission et le Parlement, mais aussi de différentes formations du Conseil comme le Conseil informel sur la politique de cohésion et le Conseil informel sur les affaires maritimes où elle bénéficie du statut d’observateur depuis de nombreuses années.
Par son expérience du projet «Vasco da Gama: formation pour des transports maritimes plus verts et plus sûrs», la CRPM bénéficie d’une solide connaissance et d’une vision du contexte lié à la formation maritime, à l’emploi et à la mobilité. En effet, depuis que les compétences requises pour les professionnels du secteur maritime deviennent plus complexes (en raison du développement technologique et de l’attention croissante portée sur la chaîne d’approvisionnement multimodale), Vasco da Gama a permis d’observer que la mobilité est essentielle pour permettre aux étudiants et aux marins d’améliorer leurs connaissances et leurs compétences.
En tant que réseau, le rôle de la CRPM dans ce projet sera complémentaire à celui des universités et des partenaires privés. Principalement axée sur la communication, la CRPM aura aussi un rôle clé pour assurer le soutien politique venant des Régions (la formation étant de compétence régionale) et pour multiplier et disséminer l’information et les résultats des projets autour de ses six Commissions géographiques.
La Commission Arc Atlantique de la CRPM sera particulièrement impliquée dans ce projet, en lien avec le groupe de travail « Innovation » de la Commission Arc Atlantique. Ce groupe de travail est actuellement présidé par la Région Nouvelle-Aquitaine qui a choisi de concentrer son action sur les biotechnologies bleues. En tant que membre de la CRPM et de sa Commission Arc Atlantique, la Région Nouvelle-Aquitaine (dans laquelle se trouve l’Université de La Rochelle) travaillera en étroite collaboration avec la CRPM. Ils feront en sorte que l’Université de La Rochelle obtienne l’accord pour la création d’un Master 2 « Applied Blue Biotechnology» unique et novateur.
La faculté vétérinaire et de sciences expérimentales de l’Université Catholique de Valence (UCV) dispose d’une grande expérience dans l’élaboration et la validation de programmes éducatifs dans un contexte national et européen : Bachelor, Master, Doctorat et programme intensif Erasmus (IP). Elle est la seule université en Espagne à proposer depuis 2009/2010 un double Bachelor officiellement reconnu dans le domaine des sciences marines et des biotechnologies, avec une spécialisation dans les biotechnologies bleues.
Par ailleurs, l’UCV organise régulièrement des Ateliers d’été internationaux sur les biotechnologies bleues, mettant en lien les professeurs issus de différentes universités et d’entreprises évoluant dans le domaine des biotechnologies marines.
Les recherches à l’UCV se concentrent sur plusieurs domaines spécifiques aux sciences marines (océanographie physique, gestion des côtes, biologie marine, etc.) et aux biotechnologies (ingénierie bio-matérielle, recherche bio-médicale, conception de médicament, etc.). Toutefois l’accent est
également porté sur les projets de biotechnologie marine tels que la biotechnologie des algues, la recherche pour des biomatériaux d’origine marine et génomique.
Pour le projet BBMBC, l’UCV travaillera étroitement avec l’entreprise privée PharmaMar (www.pharmamar.com) en tant que conseiller extérieur pour l’élaboration d’un programme d’étude et pour le développement de programmes tournés vers l’industrie en définissant la formation nécessaire dans le secteur actuel des biotechnologies marines. PharmaMar est leader mondial dans la recherche, le développement et la commercialisation de médicaments anti tumeurs d’origine marine. Elle est la première entreprise au monde à développer un médicament de ce type contre lecancer, dans un processus allant de la découverte jusqu’à la phase de commercialisation: Yondelis®(trabectedin). Depuis plusieurs années, l’UCV a été récompensé à de nombreuses reprises pour ses efforts dans la lutte contre le cancer et dans l’innovation dans le domaine de la recherche biomédicale marine. Pour ce projet, l’UCV a également obtenu l’appui de la FEDACOVA (fédération régionale pour les entreprises agroalimentaires).
En complément de ce soutien, l’UCV s’est créé un fort réseau de collaborations avec d’autresindustriels locaux qui travaillent sur l’économie bleue (Bionos Biotech, Valenciana de Acuicultura, Alevines del Mediterráneo, etc.) et avec des institutions de recherche marine (Le Scottish Marine Institute (SAMS), l’institut des sciences de la mer (CSIC), l’Institut Espagnol d’Océanographie (IEO), etc.), mais également des entreprises de biotechnologies telles que Biopolis, LifeSequencing ou Sistemas Genomicos. L’UCV a également pour partenaires des entreprises et institutions originaires d’autres secteurs de l’industrie, indirectement liés aux biotechnologies bleues comme par exemple le secteur textile ou la recherche et le développement sur les ingrédients alimentaires. Cette synergie entre les universités et les entreprises permet un échange de connaissances très positif et permet également d’organiser des stages pour les étudiants dans un véritable environnement professionnel.
L’institut d’aquaculture (IoA) de l’Université de Stirling est un centre international leader dans son domaine et l’un des plus importants au monde.
L’IoA est une communauté dynamique d’environ 350 étudiants et de personnels hautement qualifiés, dotée d’un budget annuel d’environ 10 millions d’euros. L’IoA réunit des chercheurs du monde entier, sur de nombreuses disciplines afin de répondre aux défis posés par l’aquaculture, un secteur en pleine croissance qui doit répondre à la demande globale. Notre recherche se concentre sur les questions fondamentales telles que le développement de stratégies pour une aquaculture durable et une sécurité alimentaire du secteur, sur les moyens d’organiser l’information vers les marchés commerciaux modernes, sur la manière d’aider les pays en voie de développement à produire suffisamment de nourriture pour leurs citoyens....
La recherche fondamentale sur la reproduction, la génétique, la santé des animaux marins et leur bien-être, la nutrition, les systèmes de production, l’environnement, les marchés, les impacts économique et sociaux jouent tous un rôle singulier dans l’action de l’IoA.
L’IoA est une industrie à grande échelle reconnue par l’UE et membre intégral de l’Alliance marine pour la science et la technologie pour l’Écosse (MASTS). L’Institut délivre des programmes de cycle 1 en biologie marine et en aquaculture. Il est reconnu internationalement pour l’excellence de sa formation en post-universitaire. L’IoA propose des formations de Masters en aquaculture durable, en études vétérinaires marines, en pathobiologie marine, en sécurité alimentaire marine et en biotechnologies marines. Il propose également un cycle d’études de doctorat.
L’IoA organise des collaborations pour la recherche et des partenariats pour la formation. L’institut a des accords avec de nombreuses institutions académiques de premier ordre et des partenaires industriels à travers l’Europe et le reste du monde. L’IoA bénéficie de fonds pour son travail grâce à un large éventail de sponsors, comme par exemple le Scottish Funding Council, le Conseil britannique de la recherche, les services du gouvernemental britannique, l’Union européenne, des organisations de recherches nationales et internationales, des fondations et des industriels.
L'entreprise Xanthella a été créée en 2009 pour répondre aux problèmes de coût du système de culture des micro-algues et au manque de standardisation de photo-bioréacteurs utilisés dans la recherche. Il existe en effet un nombre incroyable de photo-bioréacteurs utilisés dans la recherche, et nombre d’entre eux sont uniques. Le coût commercial élevé des photo-bioréacteurs disponibles signifie également que peu de laboratoires peuvent se permettre ce genre d’expérimentation qui nécessite des reproductions pour obtenir des résultats statistiquement fiables.
Ces problèmes - et la diversité des algues elles-mêmes - rendent difficile la comparaison des résultats des différents groupes, et la littérature abonde de résultats contradictoires. Passer des essais en laboratoires à des essais pilote est aussi une étape importante. Ces problèmes freinent le développement des biotechnologies liées à l’exploitation des algues et augmentent leurs coûts.
L’ambition de Xanthella est de fournir une gamme de photo-bioréacteurs qui combine une conception avancée avec un rapport coût-efficacité qui dépasse les problèmes relatifs au manque de standardisation et facilite le travail des chercheurs et des industriels pour développer les bio-technologies à base d’algues et les productions qui y sont liées.
La grande force de Xanthella réside dans le contrôle et l’approvisionnement de la lumière via nos technologies LED et photoniques qui permettent de manipuler la lumière d’une manière reproductible et efficace.
Xanthella a été créée par Douglas McKenzie, un vétéran primé de la biotechnologie marine. Il dirige une équipe hautement qualifiée d’ingénieurs électroniques, de phycologistes et d’ingénieurs en processus. L’entreprise travaille avec les laboratoires de recherche les plus pointus en Écosse pour le
développement de nouvelles technologies et de processus pour la conception de photo-bioréacteurs.
Le plus grand projet collaboratif de Xanthella est le projet innovateur : « Les algues, une solution pour les économies d’énergie locales » (ASLEE). Ce projet est financé par le fond local pour les défis énergétiques du Gouvernement écossais. Il utilise la bio-production d’algues pour permettre aux nouvelles industries des zones rurales d’augmenter simultanément la force de l’économie circulaire rurale par une meilleure utilisation des énergies renouvelables dans des zones géographiques à fortes contraintes, comme le bois échoué ou les coproductions de distilleries. Le projet implique des PME qui travaillent autour de la chaîne d’approvisionnement et issues de différents secteurs (Xhantella, VCharge, Ardnamurchan Estate, FAI Ardtoe), qui travaillent avec des universités (University of Stirling, University of West Scotland), avec un cabinet de consultant mondial sur les énergies renouvelables (Wood Group - précédemment nommé SgurrEnergy), une agence locale d’énergie (ALIEnergy). Dans le cadre des activités de l’ASLEE, une conférence a été organisée sur le thème «Valorisation des industries rurales». La conférence s’est tenue le 20 mars 2017 au centre d’innovation et de technologie à Glasgow. L’objectif est d’en faire une conférence annuelle. Le projet est de produire la plus grande gamme de photo-bioréacteurs au Royaume-Uni dans le secteur d’Ardnamurchan.
Xanthella est basé au Parc européen des sciences marines, dans les environs d’Oban en Écosse et à proximité de l’association écossaise pour un laboratoire des sciences marines à Dunstaffnage. C’est là qu’est conservé la collection mondialement connue de culture d’algues et de protozoa (CCAP).
Le CIIMAR - Centre interdisciplinaire de la recherche marine et environnementale de l’Université de Porto - est un institut de recherche pluridisciplinaire dont la mission consiste à développer une recherche transnationale et transdisciplinaire, à promouvoir un développement technologique et innovant, et à appuyer les politiques publiques dans les sciences marines et environnementales.
Le CIMAR rassemble 440 chercheurs, dont 200 doctorants, assurant ainsi une grande diversité de compétences scientifiques et technologiques et une expertise permettant de faire face aux défis économiques et sociétaux dans une approche intégrée.
Le programme scientifique du centre est basé sur une stratégie innovante pour une recherche orientée sur le marché et les activités en lien avec l’industrie, contribuant ainsi à une croissance économique durable. Le CIMAR fournit également des solutions et des produits répondants aux défis économiques et sociétaux contemporains. Une demande croissante est formulée pour des produits de la mer de qualité, pour de nouveaux médicaments et produits marins afin de répondre aux besoins de la médecine et de l’industrie, pour la qualité de l’eau, pour des pêcheries durables, pourla préparation et la gestion en cas de déversement d’hydrocarbures ou de HNS, pour l’évaluation et la gestion des risques environnementaux, pour la préservation des services écosystémiques et de la gestion des côtes et de l’océan.
Équipements
Le nouvel équipement ultramoderne pour la recherche, la formation et les services de la CIMAR est situé au cœur de l’industrie maritime et des services de la Région Norte du Portugal (au port de Leixões). Le centre dispose de laboratoires bien équipés, de plateformes technologiques, d’une culture à grande échelle de micro et de macro algues, et d’infrastructures expérimentales pour les animaux. Le CIIMAR réunit également deux infrastructures de recherche de dimensions nationale et européenne : le Centre des ressources biologiques marines (EMBRC) et l’Observatoire européen pluridisciplinaire des fonds marins (EMSO).
Innovation et transfert de technologie
La CIIMAR est impliquée dans le regroupement d’activités, en participant à des réseaux d’innovation et de connaissance européens et nationaux, particulièrement important dans le secteur de l’économie marine (OCEANUS, FORUM OCEANO, BLUEBIO ALLIANCE, EUROMARINE, European Marine Board). Le centre suit une stratégie basée sur l’innovation afin de promouvoir les transferts de technologie, les recherches orientées vers les marchés et les activités en lien avec l’industrie. Les idées et technologies novatrices sont mises en place via des programmes d’accélération technologique, par l’identification d’opportunités pour de nouveaux produits et de nouveaux services.
Science et société
Le CIIMAR dispose d’un programme de sensibilisation approfondi et passionnant à l’attention de la société civile. Il est responsable du développement et de la mise en place de plusieurs campagnes scientifiques de dissémination nationales et internationales qui visent à vulgariser les enjeux océanographique pour les étudiants et le grand public.
Au niveau régional, le protocole de coopération avec le conseil municipal de Vila do Conde et de Matosinhos pour la gestion scientifique et technologique de leur centre de surveillance environnementale et d’interprétation (CMIAs) sont particulièrement à noter. Le CIIMAR a été le premier centre de recherche portugais à adhérer au réseau européen des centres scientifiques et des musées (ECSITE), assumant ainsi sa responsabilité dans l’amélioration de la vulgarisation des enjeux océanographiques.